Nous voici arrivés au Sri Lanka, après un bon voyage. Il fait chaud mais le soleil ne brille pas. La circulation  routière n’est pas intense si bien que nous rejoignons notre hôtel » Silver Sand » à Négombo très rapidement.

Après plus de 24 h de voyage (eh oui de porte à porte à porte il aura bien fallu ce temps pour trouver un bon lit. Une bonne douche et une   sieste de 3 heures furent réparatrices !!!!! Et hop, nous voilà partis à la découverte de Négombo.

Petite ville au bord de l’océan Indien de 137 637 habitants, la population est essentiellement chrétienne, d’où de nombreuses églises et reposoirs sont disséminés dans la ville .Il est dit de Négombo que c’est une petite Rome ( la comparaison est à mon avis largement exagérée).

Les pécheurs sont nombreux, sur leur pirogue à balancier, ils rapportent de nombreux poissons multicolores qui sont vendus à la criée et d’autres sur le marché, se sont essentiellement les femmes qui vendent.

Plus surprenant, ce sont les étendues de poissons minuscules et les sardines qui jonchent la plage. Ces  poissons sont répartis sur de grands tapis de chanvre, recouverts, et sont séchés pendant 48 heures au soleil. Après cela ils sont récupérés et emportés dans de très grands paniers pour continuer le traitement de séchage.

Notre premier repas  au Sri Lanka  a été local: Cocktail à base de rhum et  coco, Homard grillé et sa petite salade. Je pense que ce menu sera répété souvent car si les poissons abondent ici, il n’en est pas moins pour les crustacés.

Retour à l’hôtel dans le noir complet, une panne de courant est survenue lors de notre repas. Oh ! Rien d’exceptionnel ici, personne ne s’affole et ne rouspète contre «  l’EDF » local, c’est monnaie courante. Le garçon de salle nous allumé une petite lampe à huile et tout a pu continuer.

Nous arrivons à l’hôtel en tâtonnant les murs, et comme je savais où j’avais rangé nos piles électriques frontales, nous le savons utilisées de suite. Désormais elles ne nous quitterons plus !!!!!!!

Demain nous partons pour le centre de l’île, et en bus local, je crois que nous aurons droit à l’effet « shaker », comme dirait Misha, les routes ne sont pas très bien goudronnées.